Tristar 111 de Deauville le 17 Juin 2012 par le TC Val

Mise à jour le Dimanche, 04 Août 2013 14:57

Chose promise, chose due, voici enfin une petit compte rendu de notre weekend au Tristar de Deauville.

Nous prenons le départ vers 18h30 le vendredi après que Flavie ait quitté ses petits, pour aller chez un copain de colo de 20 ans à coté de Caen, chez qui nous devons manger et passer la nuit. Nous passons une bonne soirée devant le foot (c'était l'Ukraine où après coup on peut savourer le seul bon match français !!). Je ne vois pas souvent et il doit faire également le Tristar 111 le dimanche. Cela ne nous empêche pas de prendre 2 apéros et une bouteille de vin à table !! Lendemain matin, petit déjeuner et direction Deauville où nous rejoignons la famille Tencé arrivée la veille au soir. Arrivée vers 12h15, nous sommes sur le bord du port de plaisance en compagnie de nombreux camping cars à environ 1 km du site du triathlon. Je vais chercher mon dossard, nous mangeons. Briac s'en va ensuite faire son aquathlon qu'il remporte de belle manière. Puis nous avions décidé avec David et Caroline d'aller reconnaitre le parcours vélo qui était annoncé sur le site sélectif avec plusieurs côtes avec des portions à bon pourcentage. Et là, on est servi après 1 km de vélo : une cote d'environ 500 m à 11-12 % dès le début puis 18 % à la fin sur une petite centaine de mètres !! Nous montons cool avec David mais Caroline a du mal avec son plateau de 42 !! Elle s'inquiète pour le lendemain, car on sera en plus froid après la natation. J'essaie de la rassurer mais je vois bien qu'elle n'est pas convaincue !! Nous faisons le reste du parcours avec les autres bosses pas négligeables (2 à environ 10 %) et une fin de parcours un peu pourrie à cause d'un revêtement calamiteux, à la limite de l'acceptable (on se croirait à Paris Roubaix !!). Je peste un peu, car je trouve cela très limite pour une épreuve soi disant internationale !! Bref, on rentre, on va déposer nos vélos au parc (on avait jusqu'à 18h) avec systèmes de sacs de transition à déposer aussi (système Ironman). Les Tencé partent devant, car évidemment, je suis un peu à la bourre !! On peut contempler le parc à vélos où il y a du beau matos !! En revenant, je repère un parking ouvert proche du site où l'on peut rentrer et où il y a d'autres camping cars. J'en fais part à l'assemblée au retour aux camping cars, car ce serait beaucoup plus pratique le lendemain surtout pour Flavie et les enfants pour venir nous voir au départ et après. On décide de bouger, mais voyons qu'on allait peut-être se faire déloger sur ce parking, en trouvons un autre un peu plus loin, mais quand même plus proche que le premier. C'est décidé, on s'installe là et on plante le "campement".

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Triathlon de Sizun le 10 Juin 2012 par le TC Val

Mise à jour le Dimanche, 04 Août 2013 14:57

Salut à tous,

Un bref résumé de notre week-end à Sizun.

Notre rendez-vous était fixé à 10h chez Micka (qui nous avait gentiment offert le gite dans son camping-car), grand confort, chacun était venu avec son équipement, Micka son avion de chasse, Damien méticuleux qu'il est, n'avait rien oublié ou presque .., Jean-Yves, déjà en short et bronzé.... sans doute le fruit d'une grosse préparation à l'étranger (toujours aussi professionnel)et moi, sans trousse à pharmacie et se posant mille et une questions sur la tenue, l'alimentation, remettant dans ma tête en cause une préparation un peu légère...

Le départ de Franck et Yann était prévu plus tard dans la soirée pour se retrouver à Sizun.

Avant de partir, nous nous voyons offert un petit-déjeuner, et là chez les "Royer", ça ne rigole pas... table pleine, pâtisserie à gogo...

Bref, on charge le vaisseau. C'est bon tout rentre... même les quelques vertes que chacun avait apporté (grosse ambition...).

C'est bon, on part (11h), Damien s'installe en copilote, Jean-Yves et moi derrière... Tout de suite la conversation s'installe sur le bien fondé "Est-il préférable d'avoir un GPS ou une carte ?" pour aller à Sizun et là avec Jean-Yves nous avons vu tout de suite la grande complicité qu'existe entre membre d'une même famille !! Après avoir 5 km, nous avons évité le pire grâce à la vigilance de Damien, pour prendre la route de Pontorson.

On continue, et là, une nouvelle fois, je me rends compte qu'un triathlète est un grand blessé, chacun racontant son bobo, ses blessures son manque de préparation... etc... un triathlète quoi (super j'en suis devenu UN !!! J'ai aussi mal partout).

Micka avait repéré sur le parcours une aire pour les camping-cars, afin de faire le plein en eau. Pause pipi... et oui le caca de la peur n'était encore arrivé.

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Course d'Orientation "Ca te dit Night fever" le 7 Janvier 2012 par le TC Val

Mise à jour le Dimanche, 04 Août 2013 14:58

Bonjour à toutes et tous,
Eh oui, samedi soir à 22h00 la nouvelle est tombée.
Le sanglier TCValien a peut être sous-estimé la détermination du Francky bien résolu à faire un podium. Mais quel podium !!
1ere équipe mixte devant le team Bassard, mais il a fallu batailler jusqu'à la fin, et même pendant le repas.
On n’achève pas le sanglier comme cela, même les organisateurs s'y sont trompés.

Retour sur la course :

14h30 départ d'Avranches, il y aura cette année, comme l'an dernier 3 équipes TC Val présentes à cette "Ça Te Dit Night Fever" 2012, plus Pierrot et Philippe présents sur le 10km.
3 parcours , 10 / 20 / 30 km.
Franck qui veut absolument faire un podium nous inscrit sur le 30km, le sanglier fait peur, c'est déjà une marche en moins. Mais devant l'insistance de Manu qui craint un peu la distance, Francky accepte de descendre sur le 20km, une cinquantaine de balises à pointer, et une motivation redoublée, il va falloir le contenir l'animal.
Arrivée sur site, les 3 équipes se retrouvent, un peu de chambre comme d'habitude. histoire de faire pipi un peu plus et un gros caca avant le départ.
Briefing, départ.  Ça y est Franck et Serge partent comme des balles sur les 2 premiers kilos qui servent à rejoindre le lieu de départ, et surtout à récupérer les cartes. Le sanglier flaire le coup, il s'échappe à son tour, le team Joba reste avec ce qui reste de la troupe.

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Triathlon Ironman du pays de Galles le 11 Septembre 2011 par David Tencé

Mise à jour le Dimanche, 04 Août 2013 14:58

Vous connaissez Jules Vernes ?
Moi, j’ai appris à le connaitre !
En effet, souvenez-vous de la mine réjouie qu’il affichait le gars Tencé, au lendemain de l’Ironman de Nice 2010. Tout sourire il était. Avec sa breloque et son t-shirt de finisher bleu, ont aurait dit un gamin de retour de son 1er RDV amoureux.
Il venait de passer 1 semaine fantastique avec 2 potes. Cette sympathique semaine s’était soldée par une bonne performance sur la course, le p’tit nuage quoi !!….Oui mais voilà, il y a eu « l’after » et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il n’a pas été très réjouissant. C’est à partir de là que j’ai commencé mon voyage au centre de la terre !
Imaginez, 15 mois à bouffer des vers de terre et des racines. Pendant toute cette période rien ne va, j’ai la conviction d’être proche de la mort !! Quand j’essai de faire un peu de sport, c’est une catastrophe, tout m’échappe… alors je creuse, je creuse… le tunnelier on m’appelle !! D’ailleurs au mois d’octobre je débouche dans une galerie où je fais la connaissance de 33 mineurs chiliens. Au début, ils sont un peu froid et n’ont pas trop le moral, je les entends se dire : « mé qui c’é céloui la ?  Et qué c’é qu’il fé là ?». Après, ils sont devenu sympas. Malheureusement, je n’ai pas pu rester longtemps avec eux car il n’était qu’à 700m de profondeur ! J’ai donc continué à creuser, creuser et creuser encore. Je suis arrivé au centre de la terre le 15 août dernier. A ce moment, je me suis dis que je ne pouvais pas faire pire que de chuter après 35 kms de vélo sur l’Embrunman, j’ai donc décidé un retour progressif à la surface.
C’est donc à Tenby, au Pays de Galles que j’ai revu le jour après cette longue période de spéléologie. Au début, ça pique un peu les yeux. Fort heureusement, la luminosité dans cette région n’est pas trop violente. De plus les pluies abondantes m’ont permis de me décrasser en profondeur.
Bon OK, j’arrête avec mes métaphores foireuses, venons-en au fait :

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